Les orcs Nerva du carrefour des pillards eurent une bien mauvaise visite, après l’agression de leur chef Turakan le camps fut attaqué et des dizaines d’orcs périrent.
Tel un terrible prédateur l’agresseur passa de cache en cache pour emporter guerriers, marchands et capitaines. Sans chefs pour les guider les orcs se firent décimer et la panique gagna rapidement le campement.
Après une bonne heure de hurlements et du son des lames les orcs retrouvèrent le calme et comptèrent leurs morts.
Certains parlent d’un démon, d’autre d’un héros cherchant vengeance, la seule chose certaine est qu’une quarantaine de corps manquent.
Peu de temps après un covoit de deux charrettes et d’un cavalier masqué était repéré à Gainak.
Les curieux qui en virent trop disparurent.
Bien plus tard un navire fut affréter pour le sud-ouest, transportant le convoi.
Il fut retrouvé sur les terres des sombres, échoué et privé de son équipage. Le sang recouvrant le pont.
Manifestement il ne fallait pas de témoins.
Le massacre des Nerva.
- Baaltazard
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Le massacre des Nerva.
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- Baaltazard
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Re: Le massacre des Nerva.
De nouveau les orcs pillards du nord auraient été attaqués, soixante-dix d’entre eux auraient trouvé la mort et de très nombreux corps auraient disparu.
De nouveau sans leur chef les orcs auraient cependant mieux réagi, tenant tête à l’agresseur qui s’avéra être un guerrier humain masqué pourvu d’une sorte de faux.
Le calme revint de nouveau au camp, laissant les orcs s’occuper des morts restants et prier Pa’agrio.
Tout sembla ensuite silencieux dans la région excepté aux abords de Gainak où on aurait pu entendre le fracas des armes et un orc hurler vengeance.
Peu de temps après des caisses scellées auraient quitté la région pour le territoire sombre dans une caravane marchande. Le transporteur ayant la pure interdiction de parler de la destination ou d’ouvrir les contenant, sous peine d’y laisser la vie.
Sur l’une, ils y auraient vu une note.
Dernière livraison.
De nouveau sans leur chef les orcs auraient cependant mieux réagi, tenant tête à l’agresseur qui s’avéra être un guerrier humain masqué pourvu d’une sorte de faux.
Le calme revint de nouveau au camp, laissant les orcs s’occuper des morts restants et prier Pa’agrio.
Tout sembla ensuite silencieux dans la région excepté aux abords de Gainak où on aurait pu entendre le fracas des armes et un orc hurler vengeance.
Peu de temps après des caisses scellées auraient quitté la région pour le territoire sombre dans une caravane marchande. Le transporteur ayant la pure interdiction de parler de la destination ou d’ouvrir les contenant, sous peine d’y laisser la vie.
Sur l’une, ils y auraient vu une note.
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