Il ne fallut pas longtemps pour que le Vahlok Borgne se rende en personne, pressé, jusqu'au "Château d'Eau" et les structures l'environnant, là où les plus curieux savent que lui et sa famille trouvaient tranquillité et refuge.

Un foyer en feu.
Un chat cloué sur une porte.
Des enfants disparus.
Un cri de rage.

Avec l'aide d'un ange, il aurait éteint le brasier, les lieux calcinés au bois noirci...
"C'est la guerre" aurait dit le sombre, poing serré... Larme à l’œil, couvert de suie.
Il aurait rapidement disparu.