Dans la fin d'après-midi, un voile sur le soleil,
Sombre la lumière, sombrent les cieux.

Depuis lors est figé dans l'obscurité, le souvenir d'un astre perdu.
Le soleil ne se lèvera plus jamais.
Plus jamais les étoiles ne brilleront.
L'obscurité, sur le monde, se fait.
Au matin prochain, l'absence de lumière frappera,
Tant les esprits que les cœurs.
Le froid, de jour en jour, se fera plus mordant,
Tant dans l'air, que dans les cœurs.
Et dans les ténèbres, rodent les cauchemars.
Sombre la lumière, sombrent les cieux.

Depuis lors est figé dans l'obscurité, le souvenir d'un astre perdu.
Le soleil ne se lèvera plus jamais.
Plus jamais les étoiles ne brilleront.
L'obscurité, sur le monde, se fait.
Au matin prochain, l'absence de lumière frappera,
Tant les esprits que les cœurs.
Le froid, de jour en jour, se fera plus mordant,
Tant dans l'air, que dans les cœurs.
Et dans les ténèbres, rodent les cauchemars.