Même rituels, même tournée religieuse, finissant systématiquement à Onyx, là où il dépose roses, mais aussi offrandes plus particulières, plus symboliques.
Visage toujours aussi fermé sur une expression froide et dure. Ses yeux, deux obsidiennes que bien peu osent regarder.
Ses mains et son cou, à la chair presque totalement à vif, tant ils sont scarifiées. Sa tunique maculée laissant à penser que tout son corps est déchiré de la même manière.
Ses poings, serrés à s'en faire péter les jointures, dégoulinent d'un sang noir et poisseux.
Accompagné, cette fois-ci, par deux jeunes dragons adultes, sur le qui vive et particulièrement agressifs envers quiconque approcherait.
Il se dit qu'ils seraient aller voir le marchand d'esclaves, puis seraient rentrer en son manoir où ils en seraient partis quelques heures plus tard.
“L'homme a...
Re: “L'homme a...
Fin de matinée, le Sombre Noir, tel un spectre silencieux s'approche de l'autel de Kain, ses dragons restant au seuil du temple.
Effleurant, de ses doigts salis de sang et légèrement tremblant, le marbre froid, il y dépose, comme à l'accoutumé, trois roses dégoulinant. Mais également une tablette de chocolat, et un citron, au grand étonnement du prête non loin de lui.
Au temple de Mère, c'est une obole accompagnée des trois fleurs symboliques, ainsi qu'une longue prière. C'est quand une prêtresse s'approchera de lui pour espérer le soigner qu'il se lèvera et disparaîtra.
A Onyx, ses dragons gardant l'entrée du temple, il y déposera les trois roses et la peluche noire, maculées de sang.
Le regard vide sur un visage verrouillé de toute expression, il serait resté un moment devant l'autel à contempler ses offrandes avant de repartir toujours en silence, laissant derrière lui des traces de sang poisseux et une odeur d'opiacé.
Effleurant, de ses doigts salis de sang et légèrement tremblant, le marbre froid, il y dépose, comme à l'accoutumé, trois roses dégoulinant. Mais également une tablette de chocolat, et un citron, au grand étonnement du prête non loin de lui.
Au temple de Mère, c'est une obole accompagnée des trois fleurs symboliques, ainsi qu'une longue prière. C'est quand une prêtresse s'approchera de lui pour espérer le soigner qu'il se lèvera et disparaîtra.
A Onyx, ses dragons gardant l'entrée du temple, il y déposera les trois roses et la peluche noire, maculées de sang.
Le regard vide sur un visage verrouillé de toute expression, il serait resté un moment devant l'autel à contempler ses offrandes avant de repartir toujours en silence, laissant derrière lui des traces de sang poisseux et une odeur d'opiacé.
Re: “L'homme a...
Des lunes qu'il n'avait pas été vu.
Les prêtres des trois temples furent surpris, non pas de le voir revenir, mais par le regard tranchant et glacial peint sur un visage marmoréen.
D'une main couverte de sang noir dégoulinant de ses doigts, il déposa sur chacun des trois autels, trois roses sombres aux épines acérées.
Il ne murmura pas une prière, restant silencieux, le visage verrouillé sur une expression d'une colère sourde et corrosive.
Il ne resta pas longtemps, finissant, comme à son habitude par Onyx. Il se dit qu'il serait rentré en son manoir, toujours accompagné par la petite meute de quatre dragons le protégeant et ne laissant personne approcher.
Les prêtres des trois temples furent surpris, non pas de le voir revenir, mais par le regard tranchant et glacial peint sur un visage marmoréen.
D'une main couverte de sang noir dégoulinant de ses doigts, il déposa sur chacun des trois autels, trois roses sombres aux épines acérées.
Il ne murmura pas une prière, restant silencieux, le visage verrouillé sur une expression d'une colère sourde et corrosive.
Il ne resta pas longtemps, finissant, comme à son habitude par Onyx. Il se dit qu'il serait rentré en son manoir, toujours accompagné par la petite meute de quatre dragons le protégeant et ne laissant personne approcher.
Re: “L'homme a...
De nouveau le Sombre Noir fit son apparition aux trois temples abyssaux.
Moins stone que la veille, son regard est pourtant toujours emprunt d'une rage glaciale.
Toujours accompagné par ses protecteurs, il porte en bandoulière une lourde besace, sa senestre tenant fermement un étui à violon.
Même rituel que les jours et semaines précédents... trois roses, des offrandes et tout se conclu à Onyx où, dans un silence trop pesant, il s'en retourne en son manoir dont l'accès est verrouillé par les présences de ses dragons agressifs.
Moins stone que la veille, son regard est pourtant toujours emprunt d'une rage glaciale.
Toujours accompagné par ses protecteurs, il porte en bandoulière une lourde besace, sa senestre tenant fermement un étui à violon.
Même rituel que les jours et semaines précédents... trois roses, des offrandes et tout se conclu à Onyx où, dans un silence trop pesant, il s'en retourne en son manoir dont l'accès est verrouillé par les présences de ses dragons agressifs.
Re: “L'homme a...
Même rituel ce soir, aux trois Temples à commencer par celui de Mère, puis Kain et pour finir à Onyx.
Alors qu'il déposait ses offrandes, on lui racontait ce qu'il s'était passé.
La cérémonie organisée.
Ces festivités entraînant l'effervescence de toute la cité.
Il ne sourcilla pas, mais son regard se teinta d'une profonde amertume.
Il ne répondit pas, hormis par un léger sourire en demi-teinte, à ceux là, encore ravis de ce qu'ils avaient vécu.
Il prit simplement congé, retournant chez lui.
Ou pas...
Son attention fut attirée par le jeu toujours étrange du pâle en jupette faisant le tour de l'autel où le rite avait été exécuté et où une aura l'enlaçait à présent.
L'observant, il regarda l'huluberlu faire un long moment jusqu'à ce que ce dernier grimpe sur l'édifice et s'y allonge pour... dormir ?
S'approchant pour s'en assurer, le Sombre Noir ne pu que constater qu'en effet, l'elfe ronflait fort et bien.
Il s'éclipsa quelques minutes et revint alors et déposa près de lui de quoi manger et boire pour quand il se réveillera.
Ça ne lui coûtait rien de le faire, alors pourquoi pas ?
En silence, il se retira finalement chez lui, suivit encore et toujours de ses protecteurs à crocs et écailles.
Alors qu'il déposait ses offrandes, on lui racontait ce qu'il s'était passé.
La cérémonie organisée.
Ces festivités entraînant l'effervescence de toute la cité.
Il ne sourcilla pas, mais son regard se teinta d'une profonde amertume.
Il ne répondit pas, hormis par un léger sourire en demi-teinte, à ceux là, encore ravis de ce qu'ils avaient vécu.
Il prit simplement congé, retournant chez lui.
Ou pas...
Son attention fut attirée par le jeu toujours étrange du pâle en jupette faisant le tour de l'autel où le rite avait été exécuté et où une aura l'enlaçait à présent.
L'observant, il regarda l'huluberlu faire un long moment jusqu'à ce que ce dernier grimpe sur l'édifice et s'y allonge pour... dormir ?
S'approchant pour s'en assurer, le Sombre Noir ne pu que constater qu'en effet, l'elfe ronflait fort et bien.
Il s'éclipsa quelques minutes et revint alors et déposa près de lui de quoi manger et boire pour quand il se réveillera.
Ça ne lui coûtait rien de le faire, alors pourquoi pas ?
En silence, il se retira finalement chez lui, suivit encore et toujours de ses protecteurs à crocs et écailles.
Re: “L'homme a...
On ne l'avait pas vu depuis quelques jours, et ce, malgré le bordel de la veille au port puis sur la place de la cité.
C'est en début de soirée, ce jour, que le Sombre Noir apparu. Revenant des deux sanctuaires où il avait, comme à l'accoutumé, déposé roses et offrandes, il se dirigea vers le temple onyxien, en silence, visage fermé.
Portant en bandoulière sa lourde besace, sa main gauche tenant fermement l'étui de l'instrument dont il ne se sépare plus.
Il fit ce qu'il faisait à chaque fois qu'il venait. Ses doigts noircis effleurant à peine la peluche qu'il plaçait là. Ne laissant transparaître aucune émotion, seuls sa tunique souillée de sang frais, le tremblant incessant de ses mains et son regard d'une dureté glaciale, étaient des indices de son état.
Il accompli son rituel dans un mutisme dont il ne se départait plus, écoutant sans le montrer, les rumeurs des derniers jours.
Sortant de l'édifice, ses yeux totalement noirs se posèrent sur le totem ? de bouts d'hybride, élevé là par les pécheurs et elle...
D'apparence impassible, sa senestre se serrant, fit crisser le cuir de la anse de l'étui.
Il se détourna du spectacle de la place et rentra chez lui. Ses protecteurs sur ses talons.
C'est en début de soirée, ce jour, que le Sombre Noir apparu. Revenant des deux sanctuaires où il avait, comme à l'accoutumé, déposé roses et offrandes, il se dirigea vers le temple onyxien, en silence, visage fermé.
Portant en bandoulière sa lourde besace, sa main gauche tenant fermement l'étui de l'instrument dont il ne se sépare plus.
Il fit ce qu'il faisait à chaque fois qu'il venait. Ses doigts noircis effleurant à peine la peluche qu'il plaçait là. Ne laissant transparaître aucune émotion, seuls sa tunique souillée de sang frais, le tremblant incessant de ses mains et son regard d'une dureté glaciale, étaient des indices de son état.
Il accompli son rituel dans un mutisme dont il ne se départait plus, écoutant sans le montrer, les rumeurs des derniers jours.
Sortant de l'édifice, ses yeux totalement noirs se posèrent sur le totem ? de bouts d'hybride, élevé là par les pécheurs et elle...
D'apparence impassible, sa senestre se serrant, fit crisser le cuir de la anse de l'étui.
Il se détourna du spectacle de la place et rentra chez lui. Ses protecteurs sur ses talons.
Re: “L'homme a...
Miouzik
Plusieurs jours, plusieurs semaines qu'on ne l'avait pas vu.
Certains se risquaient à aller voir en son manoir, revenant, le plus souvent, le cœur retourné.
Si Onyx pue la mort, l'antre du Sombre Noir en est l'abysse. Les cadavres s’amoncelant, le sang imbibant la terre devenue boueuse.
Le piano blanc, maculé de carmin, des organes en putréfaction dégoulinant de liquide visqueux et nauséabond, souillant l'ivoire frappée d'empreintes.
Les quatre dragons protecteurs se repaissant des corps laissés à l'abandon par le maître des lieux.
Plusieurs jours, plusieurs semaines qu'on ne l'avait pas vu.
Et ce matin, où la lune sera éteinte, il réapparu au sanctuaire de Shilen.
Pieds et torse nus, suivit de ses chaperons, il se dirigea au Temple.
Ses doigts noirs effleurant la pierre encrassée de sang qu'il goûta sans s'arrêter, d'un pas lent, presque serein si ce n'était ce visage fermé sur une expression d'une rage insensée.
On s'écarta sur son passage. Sans doute à cause de l'odeur. Possiblement à cause du tableau d'horreur qu'il offrait. Ses centaines de cicatrices ayant été ouverte, tranchée dans le vif, creusée. Chaque parcelle de sa peau étant meurtrie, scarifiée à la démesure. Même son dos semble avoir subit une flagellation d'une extrême violence au point que des lambeaux de peau manquent, la chair à vif. Tout son corps dégoulinant d'un sang noir et épais.
Il marche d'un pas lent, poings fermés, regard totalement noir.
Plusieurs jours, plusieurs semaines qu'on ne l'avait pas vu.
Les dragons s'arrêtant au seuil des Temples, il y entra seul, se présentant devant l'autel pour y laisser ses offrandes, peluche et uniquement deux roses.
Personne n'ose lui adresser la parole, même quand il s'arrêta un instant en haut des marches de la cité d'Onyx, ses ébènes balayant la place déserte, s'arrêtant sur l'aura pulsant autour de l'autel.
Après quelques minutes il s'en détourna et retourna chez lui.
Plusieurs jours, plusieurs semaines qu'on ne l'avait pas vu.
Certains se risquaient à aller voir en son manoir, revenant, le plus souvent, le cœur retourné.
Si Onyx pue la mort, l'antre du Sombre Noir en est l'abysse. Les cadavres s’amoncelant, le sang imbibant la terre devenue boueuse.
Le piano blanc, maculé de carmin, des organes en putréfaction dégoulinant de liquide visqueux et nauséabond, souillant l'ivoire frappée d'empreintes.
Les quatre dragons protecteurs se repaissant des corps laissés à l'abandon par le maître des lieux.
Plusieurs jours, plusieurs semaines qu'on ne l'avait pas vu.
Et ce matin, où la lune sera éteinte, il réapparu au sanctuaire de Shilen.
Pieds et torse nus, suivit de ses chaperons, il se dirigea au Temple.
Ses doigts noirs effleurant la pierre encrassée de sang qu'il goûta sans s'arrêter, d'un pas lent, presque serein si ce n'était ce visage fermé sur une expression d'une rage insensée.
On s'écarta sur son passage. Sans doute à cause de l'odeur. Possiblement à cause du tableau d'horreur qu'il offrait. Ses centaines de cicatrices ayant été ouverte, tranchée dans le vif, creusée. Chaque parcelle de sa peau étant meurtrie, scarifiée à la démesure. Même son dos semble avoir subit une flagellation d'une extrême violence au point que des lambeaux de peau manquent, la chair à vif. Tout son corps dégoulinant d'un sang noir et épais.
Il marche d'un pas lent, poings fermés, regard totalement noir.
Plusieurs jours, plusieurs semaines qu'on ne l'avait pas vu.
Les dragons s'arrêtant au seuil des Temples, il y entra seul, se présentant devant l'autel pour y laisser ses offrandes, peluche et uniquement deux roses.
Personne n'ose lui adresser la parole, même quand il s'arrêta un instant en haut des marches de la cité d'Onyx, ses ébènes balayant la place déserte, s'arrêtant sur l'aura pulsant autour de l'autel.
Après quelques minutes il s'en détourna et retourna chez lui.
Re: “L'homme a...
Parfois, dans l'antre du Sombre Noir, se risquent des onyxiens, invités par lui.
Restant malgré tout à l'écart, les dragons interdisant tout rapprochement.
Ils sont là pour se repaître, prier et communier avec les Dieux des abysses dans ces cérémonies plongeant dans une démesure extrême. Et souvent, lors de ces moments particuliers, on peut entendre des notes, çà et là...
https://www.youtube.com/watch?v=QdIYVXCfrQM Alors que les autres se déchaînent, déchirant la chair, démembrant des corps encore en vie, hurlant qu'on les achève plus vite. Arrachant cœurs, yeux, foies, les offrant à leur hôte qui, sereinement, du moins en apparence, fait courir ses doigts encrassés de sang sur l'ivoire de son instrument.
L'alcool coule à flot, les effluves opiacées embrument la scène qui en devient d'autant plus lugubre. Toutes sortes de potions circulant, des plus légères au plus dures, embrasant la folie des acteurs de cette boucherie musicale.
Et quand le piano s'éteint, ils savent qu'ils ne doivent pas rester. Filant comme le vent qui les a amené là, ils disparaissent pour ne pas finir sous le déchaînement de rage du maître des lieux.
L'esprit écartelé par l'effervescence du moment et tout ce qu'il a pu boire et prendre pour oublier, pour s'oublier...
Libérant sa fureur sur tout ce qui vit ou ne vit plus autour de lui. Il n'y a qu'à ses protecteurs qu'il ne touche pas.
A bout, vidé, calmé pourrait-on croire, il se relève de la fange boueuse de viscères et de sang qui maculent la terre de son antre.
Et c'est dans un état second, comme la veille, qu'il se rend aux trois Temple pour y déposer deux roses noires.
Ainsi qu'une peluche au Temple onyxien.
Tout comme hier, les prêtres et prêtresses n'osant pas l'approcher ni lui parler. Désarçonnés par le tableau qu'il offre et dont il semble se foutre éperdument.
Après son tour rituel, il rentre chez lui. S'effondrant près du feu, couvé par le mâle alpha de ses dragons, serrant dans ses bras l'étui à violon. Dormant, si on peut appeler ça dormir, ou jouant du piano quand l'insomnie s'impose.
Restant malgré tout à l'écart, les dragons interdisant tout rapprochement.
Ils sont là pour se repaître, prier et communier avec les Dieux des abysses dans ces cérémonies plongeant dans une démesure extrême. Et souvent, lors de ces moments particuliers, on peut entendre des notes, çà et là...
https://www.youtube.com/watch?v=QdIYVXCfrQM Alors que les autres se déchaînent, déchirant la chair, démembrant des corps encore en vie, hurlant qu'on les achève plus vite. Arrachant cœurs, yeux, foies, les offrant à leur hôte qui, sereinement, du moins en apparence, fait courir ses doigts encrassés de sang sur l'ivoire de son instrument.
L'alcool coule à flot, les effluves opiacées embrument la scène qui en devient d'autant plus lugubre. Toutes sortes de potions circulant, des plus légères au plus dures, embrasant la folie des acteurs de cette boucherie musicale.Et quand le piano s'éteint, ils savent qu'ils ne doivent pas rester. Filant comme le vent qui les a amené là, ils disparaissent pour ne pas finir sous le déchaînement de rage du maître des lieux.
L'esprit écartelé par l'effervescence du moment et tout ce qu'il a pu boire et prendre pour oublier, pour s'oublier...
Libérant sa fureur sur tout ce qui vit ou ne vit plus autour de lui. Il n'y a qu'à ses protecteurs qu'il ne touche pas.
A bout, vidé, calmé pourrait-on croire, il se relève de la fange boueuse de viscères et de sang qui maculent la terre de son antre.Et c'est dans un état second, comme la veille, qu'il se rend aux trois Temple pour y déposer deux roses noires.
Ainsi qu'une peluche au Temple onyxien.Tout comme hier, les prêtres et prêtresses n'osant pas l'approcher ni lui parler. Désarçonnés par le tableau qu'il offre et dont il semble se foutre éperdument.
Après son tour rituel, il rentre chez lui. S'effondrant près du feu, couvé par le mâle alpha de ses dragons, serrant dans ses bras l'étui à violon. Dormant, si on peut appeler ça dormir, ou jouant du piano quand l'insomnie s'impose.
Re: “L'homme a...
Deux roses posées sur l'autel de chacun des trois Temples des Dieux abyssaux, et une peluche en plus à Onyx.
Rituel devenant presque routinier si ce n'est celui qui vient faire ces offrandes là.
Toujours entouré de ses dragons, il avance en silence, le regard noir chargé d'une insondable rage. Il laisse derrière lui des traces de sang poisseux, d'un noir profond.
Personne ne parle sur son passage, personne ne cherche à l'interpeller. De toute manière, il ne répondrait sans doute pas, enfermer dans une bulle opaque où il semble se noyer.
Rituel devenant presque routinier si ce n'est celui qui vient faire ces offrandes là.
Toujours entouré de ses dragons, il avance en silence, le regard noir chargé d'une insondable rage. Il laisse derrière lui des traces de sang poisseux, d'un noir profond.
Personne ne parle sur son passage, personne ne cherche à l'interpeller. De toute manière, il ne répondrait sans doute pas, enfermer dans une bulle opaque où il semble se noyer.
Re: “L'homme a...
Même rituel, commençant toujours par le Sanctuaire de Shilen, puis celui de Kain et finissant inexorablement à Onyx pour y déposer fleurs, offrandes et peluche tachée de sang couleur ébène.
Dans son monde, aveugle ou totalement désintéressé par tout ce qui vit et gravite autour.
Silencieux, il fait ce pour quoi il vient, et repart sans un mot.
Retournant en son manoir pour s'oublier au piano, s'enveloppant dans les bras des drogues les plus dures, se noyant dans les bouteilles qui s'accumulent.
Il fini toujours par s'endormir, couvé par ses compagnons le veillant quoi qu'il arrive.
Dans son monde, aveugle ou totalement désintéressé par tout ce qui vit et gravite autour.
Silencieux, il fait ce pour quoi il vient, et repart sans un mot.
Retournant en son manoir pour s'oublier au piano, s'enveloppant dans les bras des drogues les plus dures, se noyant dans les bouteilles qui s'accumulent.
Il fini toujours par s'endormir, couvé par ses compagnons le veillant quoi qu'il arrive.