Cantique des cendres
Dans l’âtre où gisent les cendres
L’ on croit depuis longtemps les flammes éteintes
Mais les crépitements laissent sous-entendre
Que l’attente n’a pas été vaine.
Le vent souffle et attise les brasiers
Qui allume le cœur de mage et guerrier.
Dépoussiérer les boucliers et aiguisé les lames
Car c’est auprès de vous mes frères, que ce soir je joue mon âme.
Le vent commence à tourner l’espoir rennais
Venez tous et soyez témoin de ce haut fait
La naissance d’un peuple libre par le sang et l’honneur
Après tant d’années, voici enfin l’heure.
Le vent souffle et attise les brasiers
Qui allume le cœur de mage et guerrier.
Dépoussiérer les boucliers et aiguiser les lames
Car c’est auprès de vous mes frères, que ce soir je joue mon âme.
Quand la poussière sera retombée
Que la fumée se sera dissipée
Nous pleurerons nos héros disparus
Et sur le dos de leurs sacrifices, nous bâtirons un monde de vertu.
Le vent souffle et attise les brasiers
Qui allume le cœur de mage et guerrier.
Dépoussiérer les boucliers et aiguiser les lames
Car c’est auprès de vous mes frères, que ce soir je joue mon âme.
Le cantique des cendres
Le cantique des cendres
Depuis quelques soirs, l’on peut entendre un barde chanter et animer les auberges et tavernes de la cité blanche. Après plusieurs contes et chansons connues, il finit son spectacle sur une chanson qu’il a baptisé le cantique des cendres. Il invite ensuite les gens à s’asseoir avec lui et à boire quelques verres. Il laisse souvent sous-entendre l’implication d’un mouvement appeler simplement, la résistance.